24 Jan Budget Participatif : une idée pour rendre Paris plus cyclable ?
Le Budget Participatif, c’est reparti : on y met du vélo !
Ça y est, l’édition 2016 du Budget Participatif parisien a commencé ! Du 19 janvier au 19 février, vous pouvez déposer vos idées de projet pour améliorer Paris. L’an dernier, la très belle campagne des adhérents de Paris en Selle a permis d’ajouter 8 millions d’euros au budget de la politique vélo de Paris. Mais 8 millions d’euros, pour une ville comme Paris, ça reste tout petit. Il reste beaucoup à faire pour rendre notre ville plus cyclable : avec 4% de part modale vélo, la marge de progrès est énorme (c’est plus de 10% à Strasbourg, 15% à Berlin et le pourcentage s’envole dans certaines villes européennes !). Conséquence : Paris en Selle repart plein d’énergie pour faire une nouvelle fois du Budget Participatif un outil pour accélérer la #TransitionCyclable à Paris !
Un exemple d’idée pour le vélo à Paris : des vélo-boxes sécurisés pour garer son vélo à l’abri du vol et du vandalisme ! Toi aussi tu n’as pas la place pour garer ton vélo dans ton immeuble ?
Tu as une idée vélo ? Dépose-là avec nous au Budget Participatif !
A Paris en Selle on souhaite aider tous les Parisiens qui le souhaitent à rendre leur ville plus cyclable. Alors si tu as une idée pour le vélo dans le Budget Participatif, n’hésite pas à nous en parler : contact[@]parisenselle.fr » tu pourras rencontrer d’autres adhérents qui s’intéressent au vélo dans ton arrondissement. Surtout, ton projet aura plus de chances d’être retenu car en tant qu’association, nous sommes connus de la mairie. Et enfin, c’est le plus important, travailler en équipe c’est sympa et c’est efficace : en faisant campagne avec nous pour ton projet vélo, tu pourras toucher un plus grand nombre de Parisiens et maximiser les chances d’obtenir un nombre suffisant de votes !
» Si tu as un projet vélo pour le Budget Participatif, contacte-nous !
Le savais-tu ? Rouler avec des pneus dégonflés ça augmente ton risque de crever ou de glisser… sans compter que tu dois faire plus d’effort ! Alors comme pour les voitures sur l’autoroute, pourquoi ne pas proposer, comme à Nantes et Bordeaux, des vélo-pompes de gonflage publiques ?